| | Joke me, Darling ! (feat Stephen) | |
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Elizabeth ForbesLadyTon prénom : Alex' ou Lexou ou Lexia ou Lexina Célébrité : Evan Rachel Wood © : Shiya Messages : 3205 Date d'inscription : 14/07/2010 Localisation : Quelque part entre ici et ailleurs ReputationFamille: TiddlersAge du personnage: 23 ansRelations : | Sujet: Joke me, Darling ! (feat Stephen) Lun 20 Déc - 23:48 | |
| && Les bonnes manières ne sont pas faites pour les chiens Alors un peu de bon sens, et usez les ! Que faire quand on s’ennuie ? Que faire lorsque le monde vous semble insupportable que personne autour de vous ne vous semble important ? Beaucoup dirait rien du tout, et quoi d’autre encore ? Pour Elizabeth, combler l’ennui c’était se trouver une nouvelle proie. De la chair fraiche. (non ce n’est pas une lionne). ET qui dit nouvelle proie, dit manipulation, dit jeu. Oui voilà à quoi s’occuper notre jeune demoiselle. Oh bien sûr, elle avait son jouet favori, torturer sa sœur était toujours jouissif, mais quand même, on s’en lasse de temps à autre. C’est ainsi qu’Elizabeth se retrouvait en ville, et plus particulièrement sur la place de l’Eglise. Quel drôle de lieu pour trouver ce que l’on cherche, à moins que ce ne soit le pardon pour l’un de ses pêchés.
Malheureusement, dehors, il n’y avait pas grand monde, le froid les terrifiait donc à ce point ? Elizabeth soupira, si cela continuait, elle allait réellement finir par s’ennuyer profondément. Assise sur un banc, livre à la main, elle regardait qui passait devant elle. Mais personne ne semblait la satisfaire. Ou alors, quand elle pensait voir quelqu’un qui pourrait faire l’affaire, voilà que c’était une personne qu’elle connaissait déjà, une personne qu’elle avait déjà manipulé. Elle aurait pu de nouveau jouer avec eux, mais c’était la nouveauté qu’elle cherchait aujourd’hui. Son dévolu se jettera sur toute personne qu’elle jugera bonne pour son petit jeu. Plus le temps passait et plus Elizabeth commençait à croire qu’elle n’allait trouver personne. Sa seule issue serait d’aller embêter quelqu’un d’autre, mais qui ?? Une heure était déjà passée, quand elle prit la décision de se lever et de rentrer. Ce ne serait pas aujourd’hui qu’elle allait trouver de quoi faire. Un long, très long soupir sortit d’entre ses lèvres. Elle n’avait plus qu’à aller s’installer chaudement dans la bibliothèque de son oncle avec son livre.
Alors qu’elle commençait à partir, voilà qu’une belle aubaine se présenta à elle. Au loin, enfin à quelques mètres, un homme arrivait. A voir sa tenue, il ne s’agissait en aucun cas d’un Lord, et sûrement pas d’un homme de la société. Il avait plutôt l’apparence d’un paysan. Un sourire illumina le visage d’Elizabeth, elle avait enfin trouvé sa distraction du jour. Elle s’immobilisa quelques instants afin de trouver une idée pour entrer en contact avec cet homme. Ce ne fut bien long, qu’elle avait déjà une idée en tête. Une idée qui ne pouvait que fonctionner !! Elizabeth avança droit devant elle, sans regarder sur le côté, elle marchait, entendant la neige craquait sous chacun de ses pas. Elle approchait de lui. Ce n’est qu’à quelques mètres qu’elle dévia sensiblement sa trajectoire, afin d’entrer en collision avec l’heureux élu ! Encore un mètre et le choc allait se produire. Tout avait été orchestré de manière impeccable, que rien n’aurait pu déjouer son plan. Elle arriva à la hauteur de cet homme et ce qui devait arriver arriva ! Une belle collision ! Sous le choc, Elizabeth lâcha son livre qui tomba à terre et cria sous l’impact. De colère, quoiqu’elle jubilait en son for intérieur, Elizabeth se retourna et apostropha cet inconnu.
« Vous arrive-t-il de regarder droit devant vous ou êtes vous aveugle, au point de bousculer une jeune femme dans la rue !! »
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| | | | Sujet: Re: Joke me, Darling ! (feat Stephen) Mar 21 Déc - 14:33 | |
| Meryton était un petit village. Dont j'avais vite fait le tour. Cependant, je ne me lassais pas de repasser dans toutes ses rues, me perdant un peu de temps à autres. Dans ces cas-là, je prenais un malin plaisir à monter sur les toits, afin de pouvoir mieux me localiser. J'avais toujours trouvé n'importe quelle ville ou village beaucoup plus beau quand on le voyait à cette hauteur. Les gens ne se souciaient pas de l'ombre des toits, vu qu'ils ne le voyaient pas, parce qu'en temps normal, personne ne marchait sur les toits. Les quelques bonnes gens m'apercevant s'écriaient tout bonnement que j'étais fou avant de continuer leur chemin, sans plus jamais se soucier de moi ou d'aller raconter cela à quelqu'un qui trouverait ça trop extraordinaire pour pouvoir croire ces dires. Donc en fait, c'était également un bon coup pour passer inaperçu. Cependant les toits recouverts de ce manteau blanc n'étaient plus aussi certains qu'à la normale pour ma personne ; j'avais déjà plusieurs trébuché avant de me rattraper à une corniche ou n'importe quoi d'autres, me balançant alors dans le vide, le cœur battant, le souffle court. Alors, en ce jour, j'avais préféré prendre les chemins habituels, de toute façon, je n'étais pas d'humeur à sautiller de toitures en toitures.
Quelques personnes se retournaient vers moi : j'étais un étranger. Mais un étranger qui restait là depuis quelques jours. On pouvait alors me qualifier de nouvel habitant ou de voyageur prenant une grande pause dans son périple. J'étais compris dans les deux catégories, pour tout vous dire. Je changeais souvent d'emplacements, pour ne jamais me faire rattraper par le temps, coursant contre la vie et la mort elles-mêmes. J'étais habité, comme à mon habitude de différents habits de toiles, tenant à garder une cape sur mon dos et une écharpe bien nouée autour du cou, empêchant le froid de se glisser pour venir mordre ma peau. Alors que je frottais distraitement mes deux mains rougies par ce même froid, me maudissant intérieurement de ne pas avoir pris mes gants, une jeune femme s'avança vers moi. Je n'y prêtai pas attention ; qu'est-ce qu'une jeune femme comme celle-ci me voudrait? Alors que je l'avais déjà oublié, elle me bouscula. J'en étais réellement convaincu, que c'était elle qui était venue me heurter, et non le contraire. Ceci dit, il fallait garder cette politesse qui m'avait démêler de bien des situations peu avantageuses.
- Je suis désolée, Mademoiselle mais c'est vous qui venez de me heurter.
Je reculai légèrement d'un pas, plongeant mon regard froid dans ses yeux reflétant toute la colère que la jeune femme pouvait éprouver à l'instant. A se demander si elle allait bien psychologiquement, pensai-je. |
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