Ellen BaldwinMrs.Ton prénom : Nono © : Misery Mindt Messages : 116 Date d'inscription : 17/03/2011 ReputationFamille: Bath's inhabitantsAge du personnage: 25 ansRelations : | Sujet: "I always ask more than I can have" Ellen Baldwin Jeu 17 Mar - 20:09 | |
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5 traits de caractère minimum Détaillez les cinq traits de caractère de manière précise, afin que l'on puisse cerner votre personnage. (8 lignes minimum par trait de caractère)
Ellen a eu, tout au long de son enfance, tout ce qu'elle a voulait sans faire trop d'erreurs sinon un petit battement de cils pour charmer son cher papa qui n'avait jamais su lui dire non. Cette vilaine habitude parentale a fait d'Ellen une personne tout à fait capricieuse, qui ne comprend tout simplement pas qu'on puisse lui refuser quoi que ce soit. Bien sûr, son mari n'avait pas été aussi laxiste, mais il était vieux et radin et ne comprenait tout simplement rien ni aux femmes ni à la vie. Il était donc une exception malheureuse qui confirmait pourtant la règle. Le monde tourne autour d'Ellen et doit se plier à son moindre désir ou volonté. Oh, bien sûr, on a le droit de ne pas faire exactement ce qu'elle veut, enfin du moins si on y arrive... Il n'est donc pas rare qu'elle exige de ses connaissances qu'elles bousculent leur agenda pour venir la voir dés qu'elle le veut, ou qu'elle ordonne aux couturières de lui terminer une robe faramineuse en un ou deux jour (robe par ailleurs qu'elle ne mettra sans doute qu'une fois avant d'en acheter une autre, ce qui fait marcher le commerce après tout). Elle a horreur de ceux qui lui résistent, bien que cela peut parfois attirer son attention, et parfois même son admiration ou son respect, mais cela est tellement rare... Il est vrai que cette chère Ellen n'est pas dépourvue de charisme, et lui résister et un véritable défi. Etant tout à fait consciente de cet atout naturel qui lui a été donné dés sa naissance, Miss Baldwin en joue énormément. Elle aime plaire, séduire, bien que cela ne lui demande souvent que très peu d'efforts. Quand on a des grands yeux bleus, un visage et une silhouette parfaits, il est vrai que le monde peut être à nos pieds. Elle aime que les femmes la jalousent et que les hommes l'admirent, elle aime qu'on la regarde, comme n'importe quelle femme, mais cela devient chez elle quelque chose d'indispensable. Elle ne fait donc pas vraiment de distinctions entre les gens qu'elle séduit, toute adulation peut être utile. Cependant, elle préfère flirter avec les beaux garçons, d'une classe sociale plutôt bonne voire élevée, car elle trouve particulièrement amusant de faire craquer un aristocrate alors qu'elle est une bourgeoise, riche certes, et d'une ancienne famille, mais bourgeoise quand même ; quand aux femmes, elle aime se faire pour amies celles qu'elles admirent et dont elle se sent proche. Mais même la plupart de ses ami(e)s ne savent pas énormément de choses sur elle, car elle est particulièrement mystérieuse. Elle trouve non seulement que cela ajoute à son charme et que c'est un atout de séduction, mais elle n'aime pas particulièrement parler d'elle, et surtout pas de choses intimes. Ellen a peur que son histoire, racontée de sa bouche et de manière authentique, ne fasse mauvais effet et détériore son image et sa réputation. Elle préfère rester une énigme aux yeux du monde, qu'on s'imagine tout et n'importe quoi sur elle sans qu'elle n'ait rien à confirmer, plutôt que tout le monde connaisse son histoire dans les moindres détails, puisse présager de ses réactions en comprenant trop bien son caractère. Aussi, le cercle des gens qui la connaissent vraiment est particulièrement restreint, puisqu'elle joue hors de ce cercle le rôle qu'elle veut, pour ressembler à la femme qu'elle voudrait être. Ellen est en effet suffisamment brillante pour manipuler les gens en faisant un peu la comédie. Pas trop cependant, car elle s'aime aussi comme elle est. Ellen est intelligente, cela est en partie du à une enfance plutôt solitaire, durant laquelle elle s'est plutôt ennuyée. N'ayant ni frère ni soeur, une mère morte pourtant toujours omniprésente dans l'esprit d'un père absent, elle a du s'occuper elle-même, les précepteurs n'étant pas ses compagnons de jeux favoris, d'autant plus que ceux-ci trouvaient que trop apprendre à une fille était pêché. Ellen se plonge donc d'elle même dans toutes sortes de livres, devenant cultivée et développant son propre esprit critique et son jugement particulier. Elle sort aussi souvent, bardée d'une armée de chaperons, au théâtre, assiste aux concerts, et développe un gout assez important pour les arts de la scène, ce qui bien sûr est inconvenant. Elle juge d'un oeil assez critique la société pleine de convenances, mais elle s'amuse beaucoup, jeune fille pas encore mariée, de l'effet qu'elle fait déjà lors de son entrée dans le monde. On commence déjà à la courtiser, et elle utilise beaucoup son sens de la répartie, sa lucidité et son intelligence pour que cet engouement ne s'éteigne jamais. Et quand on lui résiste, Ellen n'est pas contente. On l'a dit plus haut, cela l'intrigue et aboutit parfois à l'admiration, mais seulement si celui ou celle qui la dédaigne lui semble déjà digne d'intérêt. Qu'un petit nobliau gris et fade, sans charme ni attrait, la néglige, elle ne le supporte pas, ou qu'une fille bête comme une pie ne l'aime pas, cela l'exaspère. Il faut dire qu'elle est aisément irritable. Comme elle est sûre d'elle, elle n'aime pas qu'on s'oppose à elle, qu'on la contredise, et elle part souvent au quart de tour. Une colère tour à tour froide ou explosive l'emporte et gare à celui qui se trouvera être la cible de ses foudres. Elle est capable de tout pour peu qu'on lui dise un mot de travers ou fasse un geste qui lui déplait. Il lui est arrivé de faire pleurer une petite miss car celle-ci l'avait bousculée, ELLE, sans s'excuser. La jeune femme fut vite dépourvue de son soupirant adoré quand Ellen fut passée par là (on ne développera pas ici les procédés diaboliques dont elle a fait oeuvre pour cela). Bien sûr, Ellen ne fait jamais rien d'irréparable. Après tout cette fichue gamine avait la vie devant elle, et une foule d'admirateurs à venir.
5 anecdotes minimum - choses à savoir sur votre personnage On attend de lire dans ces anecdotes des éléments du passé de votre personnage, son histoire, ses relations. (8 lignes minimum par anecdote)
"Monsieur, vous avez une fille."Mr James leva la tête et eut un grand sourire. "Je suis sûr qu'elle ressemblera à sa divine mère, comment va-t-elle d'ailleurs ?" La domestique baissa les yeux, et ouvrit la bouche, mais aucun mot n'en sortir. Mr James ne voulut pas comprendre. Il se leva, son sourire vacillant et sa peau blanchissant, et entra dans la salle ou l'accouchement avait eu lieu. On avait éloigné l'enfant, qu'on entendait pleurer dans la maison, et sur le lit gisait un corps. Un corps inerte qui paraissait pourtant si vivant. La sueur emperlait encore le front de la défunte, ses joues étaient encore roses, son visage si attirant... Mais le corps gisait dans le sang et la poitrine de la femme bien aimée de Mr James ne se levait plus au rythme régulier d'une respiration. Elle était morte. L'homme s'affala à son chevet, sans dire un mot, et pleura longtemps. On dit encore, parmi les domestiques, qu'il avait pleuré une semaine durant. On lui présenta ensuite l'enfant, une charmante créature qui semblait déjà être le reflet, l'écho de la vie de sa mère. Et Mr James, en la voyant, compris qu'il ne pourrait jamais l'aimer autant que sa femme. Mais enfin, il était suffisamment riche pour que cela ne se voit pas... "Je vais mourir, Ellen." "Je vous demande pardon père ?" Ellen arrêta toute activité et fixa son attention sur son père, qui l'honorait pour une fois de sa présence, alors qu'il restait ordinairement cloitré dans la bibliothèque. "Les médecins ne m'accordent plus que quelques semaines." Une fois que les paroles de son père eurent atteinte les oreilles puis le cerveau d'Ellen, une cascade d'images catastrophiques déferla dans son esprit. Elle se voyait, seule et pauvre, sans robes, sans amis, sans maisons, vêtue de guenille ou envoyée dans quelques maisons sordides. "Mais j'ai tout prévu pour que vous ne souffriez pas trop de ma mort." Un rayon de soleil illumina l'imagination de la jeune femme. Cependant, elle se sentit mal à l'aise devant le ton froid qu'avait son père pour parler de sa propre mort. Elle le regarda dans les yeux et sentit une fois de plus cruellement son manque d'affection pour elle. Une lacune que toutes les dépenses n'avaient jamais su compenser. "Vous allez vous marier, Ellen.". La jeune femme, alors âgée de tout juste 20 ans resta bouche bée. Qui allait elle choisir ? Lord Hampton et son manoir, Mr Nicolas avec sa belle stature et sa voiture décapotable ? Lequel de ses soupirants allait avoir l'honneur de l'avoir pour lui tout seul ? "Avec Mr. Baldwin". Ellen ne le connaissait même pas, son nom ne lui disait absolument rien. Son père poursuivit, lui expliquant qu'elle pourrait ainsi, par le biais de son mari, hériter de sa fortune, qu'elle ne manquerait de rien, etc. Mais Ellen avait envie de pleurer. Mariée. A 20 ans. Avec un vieux grigou qui n'avait plus qu'une poignée de dents. Qui la regardait avec une lueur répugnante. Et qui n'avait pas voulu lui offrir une bague trop chère. Sa vie allait être un enfer. Elle détestait son père, elle le détestait d'être mourant (en effet, il allait mourir quelques jours seulement après son mariage). Ellen pensait à tout ça, des larmes dans les yeux alors que Mr. Baldwin s'approchait d'elle et délaçait avec difficulté sa robe, ses vieux doigts engourdis s'emmêlant dans les fils de son corsage. Il dut appeler une servante, et jamais Ellen ne se sentit si humiliée ; mais elle ne pleura pas. Il était hors de question qu'on la vît si faible et pitoyable. Elle supporta donc tout, qu'on la déshabille, que son immonde mari l'allonge et se couche sur elle, qu'il lui fasse l'amour alors qu'elle souffrait et manquait de vomir de dégout, s'efforçant de ne rien regarder d'autre que le plafond, de n'être qu'une poupée de chiffon. Pendant la première année de son mariage, Ellen supporta beaucoup de choses sans faire d'écarts. Puis elle craqua. Trop de regards restaient rivés sur elle, trop d'hommes la désiraient pour qu'elle reste fidèle à son vieux mari radin. Son premier amant fut un bourgeois, comme elle, il était marié, mais Ellen s'en fichait. Elle prit gout à ses aventures et n'en éprouva que plus de haine pour son mari et pour le mariage. "Votre mari se meurt, Madame."Quelle délivrance ! Il mourut même avant qu'elle n'entre dans la pièce et elle n'eut pas à subir un dernier regard ou une dernière parole. Elle lui jeta un regard méprisant, fit ce qu'elle avait à faire, s'habilla en noir, ne sourit pas trop. Mais elle était enfin libre ! Libre avant que cet imbécile ait réussi à l'engrosser. Son corps n'avait pas souffert de ce mariage désastreux. L'âge d'or commença pour Ellen, alors qu'elle fêtait tout juste ses 24 ans. Se fut à cette époque là, coincidant avec l'arrivée des habitants de Meryton, qu'Ellen noua les plus importantes de ses relations. Caiterina Ferrars, en particulier, devint une merveilleuse amie, la meilleure qu'elle ait jamais eu et la seule qui la connaisse presque dans les moindres détails, ou en tout cas qui soit au courant de la moindre de ses aventures (quitte à tout dire, elles se sont rendues compte qu'elles en avaient en commun xDDD). La mort de son mari fut à l'origine d'une promesse. Plus jamais elle n'accorderait exclusivité ou fidélité à qui que ce soit, plus jamais elle serait la victime d'un mariage et plus jamais un vieillard ne la toucherait. "On jase, Ellen, on parle trop et ma femme risque de l'apprendre. Nous devons arrêter de nous voir"Vous vous attendiez peut-être à ce que je pleure ?"demanda ironiquement Ellen en voyant son amant inquiet et malheureux. Il était beau, certes, mais rien d'exceptionnel. Il ne lui donnait pas autant de plaisir qu'Henry mais il l'aidait à passer le temps et il lui faisait des poèmes ravissants. Mais bon, rien qu'elle ne pourrait regretter. "J'ai bien peur que vous ne perdiez plus que moi en vous éloignant, je n'ai jamais pu supporter les couards qui pleurent de peur devant leur femme. Allez donc vous réfugiez auprès d'elle et dites lui combien vous lui êtes dévoué, je suis persuadée qu'elle sera ravie de vous voir à ses pieds, tremblant de trouille." Ellen n'avait jamais été indulgente. Elle en rajouta une couche : "Veuillez sortir maintenant, que j'aille me baigner pour me débarrasser de toute trace que vous auriez pu laisser sur moi. Sachez que c'est moi qui vous quitte, monsieur, et non l'inverse." Et paf ! Elle s'en allant s'en faire aucune révérence, encore vêtue de sa chemise si fine et si transparente pour qu'il se rende bien compte de ce qu'il venait de laisser tomber et qu'il s'en morde bien les doigts - elle avait déjà vu sa femme, elle était laide et avait une jambe plus courte que l'autre. Elle claqua la porte sans regret. Voilà un petit aperçu.
Who Are You ?
Prénom /Pseudo/Âge ? Nono/Nono/18ans Code règlement : Ok Estelle Célébrité choisie : Mia Kirshner Multinicks ? Ouiiiiiii (Danny, Sophia, Mary) Où as-tu connu le forum ? Tu te connecterais sur le forum combien de fois par semaine ? Tous les jours, quand ma foutue hotline acceptera de marcher 24/24h A combien de sujets RP réponds-tu par jour ? C'est selon l'inspi. Un commentaire ?
Dernière édition par Ellen Baldwin le Jeu 17 Mar - 20:24, édité 1 fois |
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Georgiana CleverleyMiss.Ton prénom : Estelle Célébrité : Kate Winslet © : / Messages : 4239 Date d'inscription : 16/05/2010 Localisation : Ici même. ReputationFamille: PricesAge du personnage: 21Relations : | Sujet: Re: "I always ask more than I can have" Ellen Baldwin Jeu 17 Mar - 20:15 | |
| Haaaaaaaaan Pour moi c'est parfait <33 T'as tout compris et t'as fait super vite dis donc =O xD Je veux l'avis de Morgy aussi avant de te valider
Dernière édition par Georgiana Cleverley le Jeu 17 Mar - 20:17, édité 1 fois |
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